Le siècle les avait déposées en lui, pour qu’il les lui rendît amplifiées et magnifiées. […] pour être aimé du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant même en s’inclinant vous nomme, Pour que votre foyer soit calme et fraternel ; Donnez ! […] Pour que le méchant même en s’inclinant vous nomme. […] Pour que votre foyer soit calme et fraternel. […] Un rien les irrite, un souffle les abat ; un sourire qu’ils ont recueilli en passant suffit pour les faire mourir de joie ; un sourire qui a oublié de luire pour eux suffit pour qu’ils s’en aillent mourir de douleur.
Il les veut médiocres, pour que leur caractère soit plus significatif du temps et du milieu. […] Pour que cette nécessité se produise, un travail de cristallisation a dû s’accomplir dans cet écrivain, dont M. […] Il y a là un phénomène trop constant pour qu’il ne soit pas l’effet d’une cause permanente. […] Demain, il fraiera avec Lacordaire, d’une façon assez intime pour que le futur dominicain lui écrive les pages de Volupté sur le séminaire. […] S’il ne l’a pas établie d’une manière définitive, il l’a posée avec assez de vigueur pour que ses adversaires mêmes aient dû en reconnaître l’extrême importance.
On ne dira pas de cette saison qu’elle a porté une grande moisson de poëtes (magnum proventum tulit) ; évidemment il faut que les dernières générations qui ont donné aient été un grand effort pour que la nature se repose ainsi ; il faut que les années d’auparavant aient tout pris, et nous finirons par croire que 1829 fait époque.