Je ferai tous les changements possibles, mais probablement moins qu’il ne voudrait.
Non que je croie à la renaissance possible du grand drame à la Hugo, tel que l’ont pratiqué, les derniers, Coppée et Richepin, de pâles Borniers et d’effacés Parodis.
Et les caractères des personnages, on nous les raconte bien, mais pour la plupart on ne les développe pas assez, par le seul procédé de développement possible : le choc des faits, pour que nous en gardions une image claire.