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1748. (1908) Jean Racine pp. 1-325

On n’a de lui ni un autographe, ni une signature, ni un portrait.

1749. (1922) Le stupide XIXe siècle, exposé des insanités meurtrières qui se sont abattues sur la France depuis 130 ans, 1789-1919

Du reste, toute personne ayant son portrait dans le Petit Parisien lui était logiquement suspecte, vu l’iconographie de cambrioleurs, d’assassins ou de simples ivrognes, à laquelle s’adonne l’organe des Dupuy.

1750. (1904) En lisant Nietzsche pp. 1-362

» Et voici un portrait d’Auguste d’après Corneille, une analyse singulièrement aiguë et subtile, dont on peut contester quelques points, extrêmement juste en son fond et en son ensemble, applicable, du reste, à toute une bonne moitié du théâtre cornélien, et qui est quelque chose comme Corneille commenté par La Rochefoucauld : « La générosité et ce qui lui ressemble : Les phénomènes paradoxaux, tels que la froideur soudaine dans l’attitude d’un homme sentimental, tels que l’humour mélancolique, tels que, avant tout, la générosité, entant que renoncement soudain à la vengeance ou à la satisfaction de l’envie, se présentent chez les hommes qui possèdent une grande force centrifuge, chez les hommes qui sont pris d’une soudaine satiété et d’un dégoût subit.

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