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1398. (1889) Impressions de théâtre. Troisième série

Je ne sais presque rien d’égal, dans notre poésie, à certaines pages de François Villon. […] Je suis persuadé que, depuis quelque soixante ans, nous nous faisons une idée beaucoup trop étroite de la poésie. […] Ce serait trop difficile, car il faudrait d’abord définir la poésie ; et cela c’est le diable. […] « Il y a de la poésie dans le Mariage de Figaro. […] Cela m’a semblé, à moi, d’une poésie profonde.

1399. (1905) Études et portraits. Sociologie et littérature. Tome 3.

Charles de Pomairols, a osé intituler une suite de pièces de vers : Poésie de la propriété. […] — d’obtenir cette vibration unique de tout son être, sans laquelle il ne saurait y avoir de poésie ; elle est proprement la poésie. […] Oui, pour qu’il y ait poésie, il faut qu’il y ait vibration unique, parce que toute poésie est un chant. […] La poésie populaire est la survivance, immortellement renouvelée, de cette lointaine identité entre la poésie et la musique. […] Ce n’est plus de la poésie chantée ; ni même parlée.

1400. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Baour-Lormian, Pierre Marie François Louis (1770-1854) »

— Recueil de poésies diverses (1803). — Omasis ou Joseph en Égypte, tragédie (1807). — Les Fêtes de l’hymen et le Chant nuptial (1810). — Mahomet II, tragédie (1811). — Veillées poétiques et morales (1811). — L’Atlantide ou le Géant de la Montagne bleue, poème, suivi de Rustan ou les Vœux et de Trente-huit songes (1812). — L’Aminte du Tasse, imitée en vers (1813). — L’Oriflamme, opéra (1838). — Duranti ou la Ligue en province, roman (1828)

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