Ce fut pour avoir écrit un peu plus tard Namouna, Rolla et Mardoche, qu’on l’accusa d’imiter Byron, les veines de ces trois marbres ressemblant aux veines de ces trois autres : Manfred, Beppo, Don Juan… Seulement, pourquoi n’aurait-il pas byronisé de nature aussi bien que d’imitation ?
Plus tard, des esprits curieux, obstinés, plus occupés de mots que de choses, de plus de métier que d’inspiration, des travailleurs à la loupe et à la lampe, des émailleurs, des archaïstes, reprirent le Sonnet en sous-œuvre et lui donnèrent un éclat solide, une netteté de camée et une perfection de burin qui, en France du moins, lui avaient toujours manqué.
C’est plus tard qu’il l’a faussée en l’étreignant.