Leurs armes et tout leur équipement lui plurent. […] Il devait être brave celui qui saurait plaire à cette femme. […] Je ne refuserai jamais rien de ce qui pourra lui plaire. […] Nombre de héros fameux se plaisaient à les contempler. […] « Ces nouvelles vous plaisent-elles, mon cher seigneur ?
Ils s’y plaisent et s’y sentent à l’aise : le chevalier et le prêtre rendent les armes au siècle.
Ceux qui aiment les « Vers d’un Philosophe » de Guyau et les strophes d’Alfred de Vigny se plairont à lire ce livre, où, malgré quelques prosaïsmes, telles pages, les dernières, par exemple, sont empreintes d’une sobre beauté.