Le Dieu qui terrasse et qui relève, qui abat et qui console, l’a placé près de lui dans un solitaire asile. » Élégiaque autant que lyrique, plus semblable à la bénédiction qu’à l’apothéose, et inspirée surtout par la pensée de l’heure suprême et en souvenir des souffrances de celui qui avait si peu épargné l’espèce humaine, cette ode est belle comme la prière que prononça Pie VII à la mort de Napoléon. […] Il n’est besoin de redire où la veuve de Pedro Sabater a dû placer les siennes, mais dans la prière même elle trouvait la poésie ; de là, son Hymne à la Croix.
assez, assez, maman, tu me fais mal… « — Son père qu’elle admirait tant, qu’elle plaçait au-dessus de tout autre, le magistrat intègre et ferme ! […] Ses velléités libérales de la dernière heure étaient, dans la situation où il se plaçait, des illusions que le raisonnement ne contrôlait plus. […] Quand nous cessons d’estimer ceux en qui nous avions placé notre confiance et nos respects, nous sommes portés à douter des vertus mêmes dont ils étaient pour nous l’image sensible. […] On avait placé dans une salle un buffet très bien garni, où les danseurs pouvaient reprendre des forces. […] Sous le règne de Louis-Philippe, lorsqu’on élevait un monument public à Molière, l’idée vint de placer la statue de Bourdaloue sur la fontaine de la place Saint-Sulpice.
Un philosophe, qui écrivait d’ailleurs dans le but évident de rabaisser la puissance humaine, a bien osé dire : « Un grain de sable placé dans l’urètre de Cromwell a décidé du sort de l’Europe.