Les Grecs faisaient pleurer, crier leurs héros tragiques, mais parmi les sanglots et les convulsions ils plaçaient des couplets où la souffrance, cause de tout ce désordre, s’expliquait avec la plus délicate précision.
Il est important de bien placer cette limite, de sorte qu’on montre tout ce qui est nécessaire, et qu’on fasse imaginer ce qu’on ne montre pas.
Une pareille réflexion, ainsi placée et amenée, a je ne sais quoi d’antisincère, d’automatique, de mécanique, qui devient presque plaisant.