Joignez à ces réflexions celles que nous avons faites un peu plus haut (pages 252-257), et qui prouvent à la fois combien il est poète, et combien peu il est philosophe. — 14.

De même il me plaît de voir Sévère plus finement philosophe, plus détaché et plus curieux que Corneille ne l’a conçu. […] Et j’ai loué de toute mon âme ce surprenant Molière qui, tandis qu’il occupe les érudits et fait penser les philosophes, sait encore mieux que personne amuser les enfants. […] Par qui, sinon par des paysans, par des philosophes et des poètes du sillon, par des pères Rémy des temps anciens ? […] Il est philosophe et pessimiste. […] Ce sont deux philosophes positivistes pleins de santé.

De très bonne heure et comme tout de suite, longtemps avant d’être devenu formellement catholique, l’illustre philosophe M.  […] La destinée curieuse de ce philosophe consiste en ceci qu’on a oublié son système pour ne se souvenir que de sa méthode et qu’on a pris sa méthode pour son système. […] Par les sages, les philosophes et les hommes de lettres. […] Un roi philosophe, antichrétien et ami des philosophes, il a cherché cela toute sa vie et a mis toute sa vie à s’apercevoir qu’il ne l’avait pas trouvé et à déplorer de ne l’avoir trouvé jamais. […] Diderot, non ; et la morale, « cette Circé des philosophes », comme dit Nietzsche, ne l’a pas enchanté.