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543. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « À mon frère, l’abbé Léon Barbey d’Aurevilly »

Tu agis sur les âmes de plus haut que nous, vulgaires écrivains… Voilà pourquoi je te dédie ce livre sur les philosophes et les philosophies de ce temps.

544. (1895) Nouveaux essais sur la littérature contemporaine

L’ouvrage le classa parmi les gens de lettres, lui ouvrit le salon de mademoiselle de Lespinasse, et l’enrôla pour un moment dans la troupe des philosophes. […] Bonald ou de Maistre sont encore des philosophes, et le premier même, à sa manière, est un « idéologue » ou, comme l’a si bien dit M.  […] « Philosophes, s’écriait-il, parlez moins de la dignité de l’homme, ou respectez-la davantage. […] Homme politique ou soldat, poète ou philosophe, en souscrivant à sa statue, nous souscrivons, si je puis ainsi dire, à l’idée qu’un homme a représentée dans l’histoire. […] C’est leur juste récompense de n’avoir exprimé que ce qu’ils ont cru pouvoir réaliser, selon le beau mot du philosophe, sous « l’aspect de l’éternité ».

545. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « À M. Vacherot » p. 1

Entendre un philosophe parler littérature est l’un des plus grands plaisirs de l’esprit que je connaisse, et c’est une fête que vous m’avez donnée à Sainte-Barbe, pendant un an, toutes les semaines, à votre conférence du mercredi, lorsque je préparais mes examens de licence.

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