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502. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXVIe entretien. La passion désintéressée du beau dans la littérature et dans l’art. Phidias, par Louis de Ronchaud (1re partie) » pp. 177-240

Écoutez : quand on en a le temps comme aujourd’hui, il ne faut jamais passer à côté d’un phénomène sans l’étudier. L’amateur du beau est un de ces phénomènes que La Bruyère aurait placé dans sa galerie des caractères et des curiosités morales s’il l’avait rencontré sur sa route.

503. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Ernest Feydeau » pp. 106-143

Feydeau était plus médiocre, j’espérerais pour lui davantage, quoique le phénomène de Balzac, ce grand génie qui fut dix ans une effroyable chrysalide de médiocrité, plus étonnante que son génie même, ne doive probablement plus être un phénomène qui se renouvelle, nous vivants.

504. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Waterloo, par M. Thiers »

Ce phénomène de guerre des plus singuliers est expliqué par l’historien à l’entière et triste satisfaction du lecteur.

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