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1252. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre III. Poésie érudite et artistique (depuis 1550) — Chapitre I. Les théories de la Pléiade »

Au moins Ronsard ne veut-il pas que ces composés soient « prodigieux », mais, comme tous « vocables » nouveaux, « moulés et façonnés sur un patron déjà reçu du peuple ». […] On voit que le provignement de Ronsard n’est que l’imitation réfléchie de révolution spontanée du langage ; si d’impression sont sortis impressionner, impressionnable, impressionnabilité, n’est-ce pas un provignement opéré par l’instinct naturel du peuple ?

1253. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre IV. Les tempéraments et les idées (suite) — Chapitre II. Diderot »

Il a la gaieté du peuple, énorme, ordurière ; où qu’il soit, devant n’importe qui, il faut qu’il lâche les sottises qui bouillonnent dans sa tète : il faut qu’il parle. Il a la franchisé du peuple, celle de l’Auvergnat de Labiche plutôt que de l’Alceste de Molière : il jette au nez des gens leurs vérités ; il les pense, elles jaillissent : il faut qu’il parle.

1254. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lamartine, Alphonse de (1790-1869) »

. — Le Conseiller du peuple (1865). — Les Grands Hommes de l’Orient (1865). — Les Hommes de la Révolution (1865) […] — Les Foyers du peuple (1866). — Antoniella (1867). — Mémoires inédits (1870). — Poésies inédites (1873). — Correspondance, publiée par Madame Valentine de Lamartine (1876-1877).

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