Y ont-ils perdu ? […] Dans leur organisme social, l’individu n’est rien : il se perd dans la caste, entité vague qui représente un des aspects, une des formes de l’humanité. […] Mais ne perdons pas de vue que le premier terme doit demeurer toujours le but suprême à atteindre, tandis que le second ne sera qu’un moyen, variable à l’infini, tantôt à peu près inutile, tantôt beaucoup plus nécessaire. […] où est seulement la possibilité d’un de ces drames aux proportions immenses, d’une de ces épopées si hautes, qu’à travers l’éloignement des siècles et les cataclysmes des civilisations, l’humanité ne les perd pas de vue ? […] Il y gagna l’estime de quelques spécialistes de lettres ; il y perdit la faveur des lettrés mieux instruits et plus sérieux.
Le général Debelle, le beau-frère de Hoche, répétait sans cesse : « Nous sommes déroutés, c’est à perdre l’esprit ! […] Léon Cahun : vous n’y perdrez ni votre temps ni votre peine. […] Il semble qu’on irait jusqu’au bout du monde sans perdre l’alignement. […] Nous perdons notre temps en reproches inefficaces et en élans inutiles. […] À connaître ainsi les motifs, les mobiles qui nous font mouvoir, on perd le désir de les mettre en branle… Mais M.
Ces récits particuliers se perdent dans la foule, quand ils ne nous apprennent que ce qu’on trouve dans les Histoires générales.