C’est la peinture de mœurs administratives et de mœurs locales d’une sous-préfecture algérienne, avec ses puérilités paperassières plus ridicules sous certaines latitudes, en tels climats ; c’est une Algérie enfantine, vaniteuse et bavarde, c’est aussi un coin de l’Islam, un petit morceau de grandeur.
Et surtout leurs adeptes y trouvent des jouissances analogues à celles que donnent la peinture et la musique.
Il ne se sentait « l’imagination ni assez vive ni assez riche » pour « les égaler dans la peinture des choses matérielles, dans la description de la nature et de l’homme ».