Vous apprécierez la coupe du troisième vers qui peint si bien l’allongement de l’ombre par l’allongement du rythme jusqu’à la onzième syllabe, et vous admirerez par quel art d’interrompre le rythme et de le reprendre, de le ralentir et de le précipiter, les deux derniers vers expriment à l’oreille la légèreté du cheval divin quand il s’arrête, et l’aisance sereine de son élan quand il repart.
Or, à l’adresse que me donnait le poète des Fêtes galantes, c’était — une hésitation longuement me retint dans la rue — un hôtel meublé de louche aspect, dont, à part la porte étroite, tout le rez-de-chaussée peint violemment de rouge était occupé par un presque inquiétant « mastroquet ».
Il faut qu’un peintre ait, non seulement la passion de peindre, mais la passion des personnages qu’il peint.