S’il aima son pays, ce fut bien plus avec la tendresse d’un enfant inquiet qu’avec la vigueur d’un grand caractère. […] Car, puisque je n’aimais pas la domination autrichienne, mon devoir aurait été de réprimer et de cacher mes dangereux sentiments ou d’abandonner les pays gouvernés par l’Autriche.
Le voici enchaîné à jamais par le « grand sortilège » de Myrdhinn et de Viviane, et il se donne tout entier « au pays du vent et de la nue… ».
Elle ne craint pas de les aller chercher dans des pays barbares & inconnus.