Une marmotte, qui respire faiblement pendant l’hibernation, peut être plongée sans inconvénient dans une atmosphère pauvre en oxygène ; réveillée, elle ne tarderait pas à y périr asphyxiée. […] J’ai fait, en outre, remarquer que le sang qui sort d’une glande en sécrétion est plus pauvre en eau que celui qui entre, et que la différence est représentée exactement par la quantité d’eau contenue dans le liquide sécrété.
On en use avec eux comme avec des enfans malins qu’on ne gronde de leur malignité qu’en les caressant, parce qu’on y trouve de la vivacité et de l’esprit : les pauvres enfans donnent dans le piege, et s’étudient à de nouvelles malices, pensant n’en devenir que plus jolis.
Mais, en 1816, « le pauvre Benjamin » la connaissait, cette fois, et un peu plus peut-être qu’il n’eût voulu. […] La pauvre femme !