Le faux talisman qui passe pour ressusciter les morts par son contact et dont un personnage, dénué de scrupules, fait commerce.
Toute la poésie des Livres Saints est passée dans la prière d’Esther.
Il ne s’agit pas ici de coïncidences fortuites, ni d’interprétations forcées ; le maître a rendu son intention d’un parallélisme dans l’antithèse si indubitable, qu’on ne peut s’étonner que d’une chose, c’est qu’un fait aussi significatif ait pu passer jusqu’ici inaperçu.