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277. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre XIII. L’Enfer chrétien. »

Ni le Dante, ni le Tasse, ni Milton, ne sont parfaits dans la peinture des lieux de douleur.

278. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Aurier, Georges-Albert (1865-1892) »

Cela vaut-il mieux que d’être trop parfait ?

279. (1901) L’imagination de l’artiste pp. 1-286

Le parfum de la fleur d’églantier et sa couleur me semblent en parfait accord. […] Mais en même temps les yeux ont un objet de contemplation d’une beauté parfaite sur lequel ils peuvent se reposer. […] Essayez de concevoir un visage d’une beauté parfaite. […] Ces formes parfaites que nous essayons vainement de nous figurer, il faut bien qu’ils en aient l’idée, puisqu’ils la réalisent. […] Selon Winckelmann, la beauté parfaite serait comme l’eau pure, qui ne doit pas avoir de saveur particulière.

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