« Il n’est rien tel qu’un heureux climat pour faire servir à la félicité de l’homme les passions qui font ailleurs son tourment » [Nouvelle Héloïse, partie I, lettre 23] ; et c’est la nature seule qui a procuré à Rousseau lui-même « quelques instants de ce bonheur plein et parfait, qui ne laisse dans l’âme aucun vide qu’elle sente le besoin de remplir » [Cf.
Alors aussi s’est établi l’ancien droit privé, qui plus tard s’est trouvé en désaccord avec les intérêts d’une société un peu étendue, mais qui était en parfaite harmonie avec l’état de société dans lequel il est né. […] Mais que l’on mette ces mêmes lois en regard du culte des morts et du foyer, qu’on les compare aux diverses prescriptions de cette religion primitive, et l’on reconnaîtra qu’elles sont avec tout cela dans un accord parfait. […] Ces dispositions de l’ancien droit étaient d’une logique parfaite.
Lui-même avait aux doigts une courte pipe d’écume, qu’il maniait et caressait de négligence légère, et qui semblait le complément de son geste sobre et significatif, parfait. […] Jamais s’exhorta-t-on à montrer davantage, avec l’insouci parfait savoir où, comment, et quelles trouver !