Nous ajouterons seulement quelques réflexions qui ont paru leur échapper. […] Si on lui reproche de s’être trop assujetti au goût du Peuple, & d’avoir paru quelquefois avilir ses talens en les faisant descendre à des plaisanteries basses & outrées, on peut l’excuser, en disant, que le succès de ses meilleures Pieces exigeoit peut-être cette condescendance. […] S’il leur paroît plus facile de travailler au hasard & sans regle, de se conformer au goût d’une multitude abusée par des chimeres dont on la repaît ; ils ne peuvent s’attendre qu’à voir leur lauriers éphémeres se flétrir, se dessécher, & à devenir eux-mêmes le jouet d’un digne Successeur de Moliere, dont le plus utile essai seroit de venger Thalie des fades hommages qu’ils lui rendent.
En effet, la poësie et les expressions en sont aussi touchantes que celle du tableau où Raphaël a traité le même sujet, et l’execution du sculpteur, qui semble avoir trouvé le clair-obscur avec son cizeau, me paroît d’un plus grand mérite que celle du peintre. […] Une tour qui paroît à cinq cens pas du devant du bas-relief, à en juger par la proportion d’un soldat monté sur la tour, avec les personnages placez le plus près du bord du plan, cette tour, dis-je, est taillée comme si l’on la voïoit à cinquante pas de distance. […] Elle ne parut que six ans après la mort d’Innocent X.
Et c’est ce sacrifice qui me paraît prodigieux. […] Cela m’a paru long, fatigant, suranné. — Mais, monsieur, et Marivaux ? […] Tout cela, paraît-il, pour sa fille, qu’elle a parfaitement élevée. […] Bergerat me paraît des plus intéressants. […] Ils paraissent fort tristes et peu intelligents.