Charles Fuster Les Sept Lueurs d’Élohim : de belles pages symboliques, où l’auteur s’élève jusqu’aux conceptions et aux visions les plus grandioses.
Charles Fuster Nul scepticisme, ni rien qui y ressemble : c’est du lyrisme, de l’ardente conviction et, à mainte page, de l’élégance enflammée.
Puis chaque page des dix volumes atteste une dialectique sûre. […] Ces pages admirables, je les appelais un prélude. […] Frédéric Masson, bien marquée, ardente, exubérante, apparaît à toutes ses pages. […] Ernest Psichari, par exemple, a beaucoup de mauvaises pages, à peine écrites. […] … Mais, à côté des mauvaises pages, — molles, embrouillées, ou empêtrées, ou accablées, — que d’excellentes pages, dans L’Appel des armes !