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542. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre X. Zola embêté par les jeunes » pp. 136-144

À moins de légitimer la paresse qui nous fait négliger les choses lentes à connaître, et davantage aimer, pour l’économie d’un peu d’attention, les pages brèves que les livres pleins. […] De La Conquête de Plassans à La Page d’Amour, à La Faute de l’abbé Mouret, à L’Assommoir, à Germinal, à L’Œuvre, à La Terre, à L’Argent, M. 

543. (1890) L’avenir de la science « VII »

Prenez les plus beaux travaux de la science, parcourez l’œuvre des Letronne, des Burnouf, des Lassen, des Grimm, et en général de tous les princes de la critique moderne ; peut-être y chercherez-vous en vain une page directement et abstraitement philosophique. […] Nous nous sommes tous bien trouvés d’avoir éprouvé cette innocente jouissance, pour nous aider à dévorer les pages arides de la science.

544. (1898) Inutilité de la calomnie (La Plume) pp. 625-627

* *   * Il y a deux ou trois ans, quand, le front gonflé d’un monde inconnu, nous écrivions les pages de la Vie héroïque, nous pressentions que beaucoup s’y tromperaient, que la littérature prochaine serait sans doute sentimentale, et cette perspective nous était pénible. […] Je connais peu de pages qui valent celles-là.

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