Martins, introduction, page 1.
Nous avons dit ailleurs (page 91) qu’il ne fallait pas confondre la contre-épreuve expérimentale avec l’expérimentation comparative. […] Cette méthode est fort employée par les physiologistes depuis un certain nombre d’années dans l’étude des phénomènes de la nutrition (voy. page 187).
Nous avons sur ce point un beau passage de Varron que l’on peut voir ici au bas de la page.