Renée n’a négligé aucune des sources ni aucune des dépositions qui était à sa portée, et il en a eu quelquefois d’assez particulières (page 268) ; il en a usé avec esprit et sagesse.
Roderic n’est autre que le page tendre et discret de Lara.
Mieux vaut justifier ce que je dis par quelque page d’un grand écrivain.