En effet, Michelet, qui a une passion malheureuse pour les idées générales, Michelet, qui veut toujours aller du fait à l’idée, — ce qui est un glorieux chemin, mais dans lequel il tombe toujours, — Michelet se préoccupe beaucoup, dans son histoire des Femmes de la Révolution, de la destinée future de la femme, et nous vous dirons qu’à plus d’une page il n’est pas médiocrement embarrassé.
Son appréciation du livre de Furetière nous semble devoir fixer en beaucoup de points l’opinion sur cet homme de science et d’activité littéraire, et qui fut (heureusement pour lui, car la Postérité ne lit jamais de nous plus d’une page… quand elle la lit toutefois !)
Or, le duc Orsino a, dans sa cour, un page favori : Silvio, son compagnon et son confident ordinaire. Ce petit page est bien, bien joli : c’est que, voyez-vous, ce petit page est une jeune fille habillée en garçon, et que son vrai nom est Viola. […] Ceux qui aiment vraiment ont des pleurs. — Et comment sais-tu cela, petit page ? […] La portée de cette page me paraît presque effrayante. […] Jeanne les donne en fief au page Dragonet.