Adorateur & Commentateur de Boileau, il auroit affoibli la gloire de ce Poëte par des détails minutieux & puériles, si le Lutrin, l’Art Poétique & la plus grande partie de ses Ouvrages n’étoient de nature à résister à la fadeur de l’encens.
Le grand nombre d’inepties qui se produisent tous les mois dans ce Journal, étoit un préjugé contre le mérite de ces Drames ; mais il est aussi difficile aux Rédacteurs du Mercure de décréditer un bon Ouvrage, que d’en faire valoir un mauvais.
On lui attribue un petit Roman, intitulé, Mémoires Turcs, Ouvrage trop libre, mais plein d’intérêt, & dont la seconde Partie renferme une excellente critique de nos mœurs.