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796. (1883) Essais sur la littérature anglaise pp. 1-364

Taine n’en a pas oublié un seul ; chacun s’allume à sa juste place, à son vrai moment, et brille avec la lumière qui lui est propre. […] Le Français a-t-il raison d’oublier ses origines et de ne pas se soucier de savoir s’il est ou non de sang celtique ? […] Le vaisseau royal a sombré au milieu des cris de désespoir ; voyez, déjà la mer a oublié et sourit. […] L’illusion dramatique ne doit donc jamais être assez forte pour faire oublier au spectateur qu’il est au spectacle. […] Les juges trop sévères, comme Thackeray, oublient que celui qu’ils condamnent fut, non un homme, mais un enfant, et les juges trop indulgents oublient que cet enfant n’eut jamais les attributs de l’enfance, l’innocence et la candeur.

797. (1897) La vie et les livres. Quatrième série pp. 3-401

Il avait oublié la clef. […] Mennesson, en oublia le souci de sa dignité professionnelle. […] Le cardinal est un peu oublié, mais M.  […] » Ce geste et cette promesse, jamais il ne les oubliera. […] Et n’oubliez pas, puisqu’il s’agit de l’Angleterre, que M. 

798. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Croisset, Francis de (1877-1937) »

Qu’on se rappelle, par contre, l’allure tragique que Baudelaire a su donner à ses femmes damnées ; à elle seule, elle fait presque oublier le côté scabreux du sujet.

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