À ne compter même que les poètes, ce royal théâtre a reçu dans l’occasion d’illustres visites, ne l’oublions pas.
C’est comme dans un certain tableau flamand du Sacrifice d’Abraham et d’Isaac, où le bouc était si soigné et si vrai qu’il faisait oublier le sacrificateur et la victime.
Peu après, il avait oublié qu’il avait une femme et même un fils. […] J’irais loin d’elle encor tâcher de l’oublier ? […] Au reste, Racine ne s’oublie ni ne s’abandonne. […] Les druides ni les chênes de Dodone n’y furent oubliés. […] le délaissement du grand poète qui a oublié de mourir jeune !