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494. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Sainte-Hélène, par M. Thiers »

Mais, par la suite, la plus cruelle gêne pour lui comme pour tous les habitants de Longwood fut l’absence d’ombre ; un bois de gommiers voisin de l’habitation n’en donnait pas ; la tente qu’on avait dressée et qui lui en procurait un peu n’avait ni la mobilité ni la fraîcheur d’un ombrage. […] Et il n’y a pas l’ombre d’emphase ; M. 

495. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Les Saints Évangiles, traduction par Le Maistre de Saci. Paris, Imprimerie Impériale, 1862 »

Comment a-t-elle couvé sous terre et s’est-elle multipliée dans l’ombre des Catacombes, durant les premiers siècles ? […] L’arbre immense, privilégié, possesseur désormais d’un sol et d’une terre ;à lui, ne cessait de gagner à l’Occident et protégeait ou menaçait tout de son ombre.

496. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. (suite.) »

— La terre était fleurie, Le ciel pur, l’ombre fraîche, elle… heureuse d’amour ! […] L’homme qui n’a pas souffert ne sait rien de la vie ; il en ignore les abîmes et les hauteurs, les ombres et la lumière.

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