À peine rentré dans son pays et rapatrié, il s’occupa à recueillir et à publier les pièces de vers des dernières saisons, sous ce titre : La Coupe de l’Exil (1844).
Bien différent d’un grand nombre de ses Confreres, plus occupés à former leur style sur les froides Productions du jour, & à en transporter le ton dans la Chaire, qu’à se former sur les grands Maîtres, il s’étoit nourri de la lecture des Saints Peres, & sur-tout de celle de S.
S’ils ne manquoient pas d’invention & souvent de naturel, ils ne seroient pas indignes de la place qu’ils occupent dans la belle édition des Poëtes Latins, donnée par Barbou.