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343. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Le comte de Fersen et la cour de France »

L’éditeur, qui se nomme à la tête de ces deux volumes, est le petit-neveu du comte de Fersen. […] C’est que la Révolution, qui descend toujours, cette Révolution appelée momentanément la Révolution Française, en attendant qu’elle se nomme la Révolution européenne ou la Révolution universelle, était déjà là-haut, — au cœur même de la Royauté.

344. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « M. Caro. Le Pessimisme au XIXe siècle » pp. 297-311

C’est là tout… Schopenhauer, qui n’est certainement pas de la force dans la chimère de ceux-là que je viens de nommer, devait, selon moi, durer moins qu’eux. […] Il n’y nomme, certes !

345. (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Gustave D’Alaux »

Pétion le nomma lieutenant dans la garde à cheval, et le légua plus tard à Boyer comme un meuble du palais de la présidence. Boyer, à son tour, le nomma capitaine et l’attacha au service particulier de madame Joute, une Diane de Poitiers au teint d’or qui avait été la présidente de deux présidents.

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