On pourrait nommer beaucoup d’autres écrivains de nos jours137. […] Le volume imprimé évoque des figures, des scènes entières devant les regards de l’illustrateur et c’est par centaines qu’on nommerait ceux qui de nos jours ont excellé à traduire par des lignes ou des couleurs la pensée ou les rêves d’autrui. […] Le jeu de Robin et Marion, qu’on a nommé notre premier opéra-comique, se lie à des réjouissances annuelles qui avaient lieu dans la ville d’Arras.
Ou, si on ne leur prend rien, on ne peut s’évader d’eux qu’en régressant dans une imitation ressassée du passé… Mais nous avons hâte maintenant de nommer des poètes, parmi les principaux, survenus depuis dix ans environ et quelles que soient leurs tendances, qui, de non commune valeur et aimant leur art, d’aucuns en étant les passionnés et les tourmentés, honorent cette heure ou sont de l’espoir ou notoires, ou encore tout nouvellement révélés : MM. […] Nous nommerons son superbe Drame en vers (premier d’une Trilogie), Titane, d’intensité psychique et verbale, créateur d’une sorte d’ambiance de mystère où resurgit modernement le thème de la Fatalité antique C.M. […] Jules Huret sur l’évolution littéraire en 1891. « Nommer un objet, dit Stéphane Mallarmé, c’est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème, qui est faite du bonheur de deviner peu à peu : le suggérer, voilà le rêve.
Aussitôt après les avoir lus, il s’écria qu’ils étoient admirables, qu’ils ne pouvoient appartenir qu’à un ancien, & prétendit qu’ils étoient d’un vieux comique, nommé Trabea. […] Elle le nomme la source de toutes vertus, & de toutes connoissances. […] En effet, on peut remonter jusqu’à un certain disciple d’Aristote, nommé Déarque, lequel s’est exercé dans ce genre.