Au-delà tout m’échappe : c’est le bégayement de la folie ; c’est la nuit noire ; c’est, comme dit Baudelaire, le vent de l’imbécillité qui passe sur nos fronts.
On se croit de bonne foi quand on dit ce qu’on pense, et certes il est d’honnêteté puérile de ne pas penser blanc et imprimer noir, mais ce n’est pas assez.
Au début, ce n’était qu’une image sensible, par exemple, celle d’un trait continu tracé à la craie sur un tableau noir.