Les plus nobles natures, quand elles sont déjà faites et formées, éprouvent de la difficulté à ce rôle complexe qui exige des qualités presque contraires. […] On n’y relèvera que ce qu’y remarquait Napoléon lui-même, c’est-à-dire l’amour qu’il avait inspiré à sa noble épouse, et dont elle lui donna des preuves par son dévouement absolu.
Léon Dierx est très noble et très pure. […] S’il faut un poète divin, à force de modestie, et noble, à cause d’œuvres splendides et méconnues, j’élis tout de suite Léon Dierx.
La différence du noble et du vilain est aussi accentuée que possible ; mais la différence de l’un à l’autre n’est en rien une différence ethnique ; c’est une différence de courage, d’habitudes et d’éducation transmise héréditairement ; l’idée que l’origine de tout cela soit une conquête ne vient à personne. Le faux système d’après lequel la noblesse dut son origine à un privilège conféré par le roi pour de grands services rendus à la nation, si bien que tout noble est un anobli, ce système est établi comme un dogme dès le XIIIe siècle.