Il était dangereux à un républicain de faire sa profession de foi politique au restaurant, devant son beefsteak et sa bouteille, et l’on voyait en Écosse, pour des offenses qui à Westminster eussent été qualifiées de délits simples1185, des hommes d’esprit cultivé et de manières polies envoyés à Botany-Bay avec le troupeau des criminels1186. » Cependant l’intolérance de la nation aggravait celle du gouvernement. […] C’est le soir, en hiver ; le messager de la poste arrive, « héraut d’un monde affairé, avec les nouvelles de toutes les nations qui ballotent sur son dos1192. » Il ne s’en inquiète pas ; « il siffle, pauvre gai bonhomme » ; toute son affaire est de les déposer à l’auberge. […] Chacun devint touriste et archéologue ; l’esprit humain, sortant de ses sentiments particuliers pour entrer dans tous les sentiments éprouvés, et à la fin dans tous les sentiments possibles, trouva son modèle dans le grand Gœthe, qui, par son Tasse, son Iphigénie, son Divan, son second Faust, devenu concitoyen de toutes les nations et contemporain de tous les âges, semblait vivre à volonté dans tous les points de la durée et de l’espace, et donnait une idée de l’esprit universel. […] Alison, History of Europe ; — Porter, Progress of the Nation. […] He comes, the herald of a noisy world, With spattered boots, strapped waist, and frozen locks, News from all nations lumbering at his back.
Ce respect pour la spécialité du service fait partie des privilèges de la nation indienne ; et il ne serait pas prudent d’y manquer. […] Comme chez toutes les nations dont la conquête et le pillage ont épuisé la sève, ses mœurs sont douces, sa physionomie est triste. […] Ni les chefs rajepoutes, ni les empereurs mogols n’avaient pu subjuguer cette nation. […] jusqu’à la limite, malheureusement infranchissable, que lui assignent les préjugés religieux et domestiques enracinés chez cette nation. […] Aussi voyez le rôle que nous jouons, nous autres hommes de toutes les nations et de tous les rangs, dans les romans de M.
Il s’agissait de lier un grand commerce entre cette nation portugaise et la France, d’y combattre l’influence et les intérêts de l’Angleterre. […] Je trouvai à ce propos que ledit M. de Chauvelin n’était aucunement homme d’Etat comme je l’avais cru, et que ce n’était qu’un courtisan peu intelligent au bonheur de la nation ni aux sentiments que nous devons à l’humanité.