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351. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 122-127

L'Abbé Duperron, depuis Cardinal, fut chargé de prononcer son Oraison funebre, après un Service magnifique où le Roi avoit envoyé sa Musique.

352. (1761) Salon de 1761 « Peinture — Vien » pp. 131-133

Je n’ai remarqué ni l’Hebé du même peintre, ni la Musique, ni ses autres tableaux.

353. (1936) Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours pp. -564

Le Chant du Départ, de Marie-Joseph Chénier, pas trop indigne de la noble musique de Méhul, est le plus beau de ces hymnes révolutionnaires. […] Il a fouillé consciemment dans les musiques cachées du vers français, il en a cherché, exploité patiemment les ressources. […] D’ailleurs dès 1793, la Chronique de Paris écrivait : « La musique du citoyen Méhul est romantique. » Mieux encore l’est évidemment en 1800 la musique autochtone des montagnes pour Senancour, qui donne comme titre à un morceau d’Oberman : de l’expression romantique et du ranz des vaches. […] Le Lac des Nouvelles Méditations c’est la baie de Naples : Ischia, la douceur vaporeuse d’une nuit méditerranéenne, un peu mandoline et sorbet, mais la strophe divine, la musique pure. […] Il ne fallait pas que sa première pièce se présentât sans un manifeste, qui fut la préface de Cromwell : un manifeste, c’est une proclamation, et une proclamation, cela se fait sur une estrade et on ne monte pas sur l’estrade sans s’être assuré d’une musique.

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