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1103. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 12, qu’un ouvrage nous interesse en deux manieres : comme étant un homme en general, et comme étant un certain homme en particulier » pp. 73-80

Par exemple, ceux qui s’étonnent que Cesar ait été déconcerté en écoutant l’oraison de Ciceron pour Ligarius, et que le dictateur se soit oublié lui-même jusqu’à laisser tomber par un mouvement involontaire des papiers qu’il tenoit entre ses mains.

1104. (1887) La vérité sur l’école décadente pp. 1-16

., mais je ne veux actuellement parler que des premiers : Jean Moréas Est l’auteur de deux recueils de vers : Les Syrtes, et Les Cantilènes ; il y a en lui du « Baudelaire avec plus de couleur », comme il l’a lui-même formulé ; du Heine, du Gœthe, du Verlaine, mais aussi beaucoup de Moréas ; dans ces derniers écrits il suit, par ses proses rythmées publiées dans La Vogue, le mouvement qui a porté MM. 

1105. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome II pp. 1-419

Quand ses pieds furent mis en mouvement : Ne crains pas, me dit-elle, que je m’éloigne. […] Parfois il se laisse aller à des mouvements de véritable tendresse ; mais ces mouvements ne sont pas nombreux. […] À Dieu ne plaise que je lui reproche ce petit mouvement de vanité ! […] Autant le premier est faux et languissant, autant le second est libre dans son allure, rapide et imprévu dans ses mouvements. […] Je veux bien que le cœur de l’homme soit chose mobile ; encore faut-il que les mouvements du cœur s’expliquent par la passion.

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