Car cestuy très bon, très grand Pan, nostre unicque servateur, mourut lez Hierusalem, regnant en Romme Tibere Cesar. […] Le premier jour de vostre naissance vous achemine à mourir comme à vivre. […] Il s’était bien promis de finir de la sorte ; nous avons vu comment il avait fait son compte de mourir chrétien. […] Remarquons, au surplus, que sa doctrine n’est pas morte avec lui. […] Mais le coup était porté ; l’Hôpital ne s’en releva pas et mourut au bout de quelques mois.
Ces syllabes forment le nom d’un grand poète, et unique en son genre, au point que les échos n’en sont pas encore fatigués ; toutes les gloires passent et s’en vont mourir, murmurer sous la paix des forêts ; Borrelli sonne et rebondit de montagne en montagne.
Remy de Gourmont Relu, Tête d’or m’a enivré d’une violente sensation d’art et de poésie ; mais, je l’avoue, c’est de l’eau-de-vie un peu forte pour les temps d’aujourd’hui ; les fragiles petites artères battent le long des yeux, les paupières se ferment ; trop grandiose, le spectacle de la vie se trouble et meurt au seuil des cerveaux las de ne jamais songer.