Le nom de Golgotha signifie crâne ; il correspond, ce semble, à notre mot Chaumont, et désignait probablement un tertre dénudé, ayant la forme d’un crâne chauve. […] Il entendait autour de lui de sottes railleries et ses cris suprêmes de douleur tournés en odieux jeux de mots : « Ah ! […] » et que les autres, plus préoccupés de l’accomplissement des prophéties, rendirent par ces mots : « Tout est consommé !
Selon le père Didon, qui est un théologien et qui doit s’y connaître, il y a dans le Retour du Christ des choses hétérodoxes, c’est là le mot dont il se sert. […] Michelet signalait déjà cette tendance du christianisme à s’efféminiser (c’était son mot, je crois), et il la donnait, avec son prestige infernal, comme un symptôme de mort prochaine pour le christianisme. […] Ordinairement, quand il parle des femmes, la science et le mépris qui se combinent dans son langage l’empêchent d’avoir peur des mots qu’il emploie.
Ce crochet est un mot heureux, car il contient un blâme, — le blâme que mérite toute tortuosité, — mais véritablement les plaisanteries d’un homme à sa maîtresse, avec qui on est toujours un peu fanfaron de vices, ne prouvent rien, et tout ce qu’on sait de la vie de Henri et de sa persistante ambition politique, appuie cette idée du crochet. […] Mais l’histoire de Segretain nous a donné le mot du protestantisme de Henri. […] Toute la différence entre ces deux hommes est dans ces deux mots.