Or l’idéal commun, qui s’exprime dans la loi, dans la coutume, dans le préjugé, dans les mœurs, se propose à tous avec un même caractère d’uniformité.
Une trop grande licence n’est ni dans nos mœurs, ni selon nos loix.
Ils ne pensent pas pouvoir mieux honorer leur région qu’en lui dédiant leurs poèmes, qu’en décrivant ses aspects et ses mœurs dans leurs romans.