Les chimistes modernes se sont beaucoup préoccupés d’une propriété qu’aurait la salive d’agir sur les matières féculentes pour les transformer en sucre. […] Les anatomistes modernes ont continué dans ce siècle la même comparaison ; l’anatomie de structure a montré que le pancréas ne différait pas des glandes salivaires, et que ces organes rentraient les uns et les autres dans la classe des glandes en grappe.
Et, de 1741 à 1749, il écrit des épitres en vers, la Dissertation sur la musique moderne, le Projet concernant de nouveaux signes pour la musique, une petite comédie intitulée les Prisonniers de Guerre, l’opéra des Muses galantes, le Persifleur, premier numéro d’un écrit périodique qui n’eut pas de second numéro, l’Allée de Sylvie, l’Engagement téméraire, comédie en trois actes, en vers ; et j’en passe.
Vu au casino quelques frimousses éminemment modernes.