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898. (1928) Quelques témoignages : hommes et idées. Tome II

Pour le diagnosticien qui veut devenir un thérapeute, la méthode consiste donc à dégager les conditions qui assurent à ces milieux leur meilleur rendement ; entendez par là leur bienfaisance d’abord pour l’individu, puis pour la cité. […] Cette fille d’un de nos meilleurs romanciers tient de son père la justesse pénétrante du trait, le goût de l’humble et quotidienne observation. […] Ç’a été le cas pour moi, avec Feuillet, en particulier pour les deux récits auxquels j’ai fait aussitôt allusion, et qui ramassent en eux le meilleur du génie de ce remarquable écrivain. […] Le président pouvait-il avoir un meilleur guide pour lui montrer nos trésors, que cet héritier fidèle de la pensée du prince qui les a recueillis infatigablement, un demi-siècle durant, pour les donner à la France ? […] Ils attesteraient que presque tous nos meilleurs écrivains se sont associés spontanément depuis un siècle à l’effort tenté par François Buloz et ses successeurs pour créer et soutenir un organe voué au service du génie français.

899. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre II. La Nationalisation de la Littérature (1610-1722) » pp. 107-277

La meilleure édition et la plus complète est celle que nous avons signalée, de M.  […] La meilleure, et aussi bien la seule édition moderne du Théâtre d’Alexandre Hardy est celle de M.  […] — et l’invincible confiance que nous avons dans une destinée meilleure ? […] Les meilleures éditions modernes sont : — l’édition de 1822-1826, Paris ; — et l’édition Guérin, 1864, Bar-le-Duc. […] La meilleure ou la plus belle édition de ses Œuvres est celle de 1790, Paris, chez la Vve Duchesne.

900. (1836) Portraits littéraires. Tome I pp. 1-388

Contre l’ordinaire de Fielding, on n’y trouve, au milieu des tableaux immoraux, rien qui puisse rappeler au lecteur de meilleurs sentiments. […] On peut toujours réserver pour des jours meilleurs et plus courageux la ciselure de l’ébauche qu’on a lâchement abandonnée. […] Que le lecteur rentre en lui-même, et qu’il se demande avec bonne foi s’il n’a pas cent fois maudit l’indiscrète franchise de ses meilleurs amis. […] Les premières lignes qui s’offrent à la vue ne sont pas toujours les meilleures. […] Précisément à cette même époque on publiait, pour la seconde fois et sous une forme meilleure que la première, les chefs-d’œuvre des théâtres étrangers.

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