Vous échouerez, peut-être, et votre mort suivra de près une tentative manquée. […] Je veux savoir comment tout s’est passé de point en point dans cette héroïque aventure, comment on a gagné Cannes, manqué Antibes, pourquoi on a suivi la route des montagnes, et comme quoi Sisteron n’était point gardé, et les défilés heureusement franchis, et le moment critique à La Mure en avant de Grenoble, et tout enfin, car aucun détail ici n’est indifférent.
Il n’a manqué aux deux recueils de poésies qu’il a publiés en 1854 et 1855 que peu de chose, et je ne sais quel rayon venu à propos, pour être plus en vue et pour attirer l’attention. […] Eh bien, qu’y manque-t-il ?
rien n’y manque, m’écriai-je en montrant le ciel et l’astre si doux. » — -« Oh ! […] rien n’y manque !