Gigleux ait subi l’influence de ces deux maîtres, et je ne vois point qu’il y ait à l’en blâmer, car le charme de Musset allié à la vigueur nerveuse du poète des Trophées ne peut manquer de donner un résultat qui fasse honneur aux lettres françaises.
Van de Putte manque trop souvent de goût artistique pour que ses poèmes atteignent à la perfection qu’on leur voudrait voir et que lui-même leur suppose.
Quelques-unes des réflexions qu’il a ajoutées, manquent de justesse, & plusieurs ne sont pas assez développées.