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834. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre IV. Des éloges funèbres chez les Égyptiens. »

L’un venait en habits de deuil, et disait : « Il a fait périr ma femme et mes enfants ; j’apporte ici les dernières plaintes qu’ils prononcèrent en mourant : ô juges, vengez-nous. » Un autre : « Il m’a ravi ma liberté et j’étais innocent ; voilà mes chaînes, elles déposent contre lui, et je viens les secouer sur sa tombe. » Des malheureux, en lambeaux, disaient : « Nous avons été arrachés de nos maisons pour bâtir ces pyramides et ces palais : sur chacune de ces pierres que vous voyez, a coulé quelqu’une de nos larmes » ; et souvent des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, étendant leurs bras à la fois, s’écriaient tous ensemble : « Il a causé la mort de nos pères, de nos frères, de nos époux, qui ont tous péri dans une guerre injuste ; ô juges !

835. (1896) Impressions de théâtre. Neuvième série

Je mettrais le trouble dans votre maison. […] » ou de cette petite chanson des bandhoulas : « Sans famille et sans maison, nous mangeons le pain d’autrui. […] On l’emmène à la maison de santé. […] Elle redeviendra la garde-malade de son mari, qu’on a ramené de la maison des fous. […] Mais les quatre mousquetaires suivent l’homme masqué, le voient entrer dans une maison des faubourgs de Londres, regardent par la fenêtre, reconnaissent Mordaunt, pénètrent dans la maison mystérieuse, disent à leur ennemi : « Nous te tenons !

836. (1888) La vie littéraire. Première série pp. 1-363

On enseignait aux héritières des premières maisons de France les soins domestiques. […] Celui-ci ne fréquenta pas longtemps la maison Le Sénéchal sans devenir amoureux de la jeune Sophie. […] Puis ils le prirent dans leurs bras pour le porter dans une maison voisine. […] N’a-t-il pas mis la maison de Hapsbourg à deux doigts de sa perte ? […] Napoléon et Mathilde, qui avaient l’un treize ans et l’autre quinze, furent emmenés dans une maison voisine.

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