Si le plan général est au-dessus des ressources du moment, attendre d’un avenir plus favorable son entière et parfaite exécution, mais ne rien abandonner au caprice de l’avenir ; en user avec une maison d’éducation publique comme en use un architecte intelligent avec un propriétaire borné dans ses moyens ; si celui-ci n’a point de quoi fournir subitement aux frais de tout l’édifice, l’autre creuse des fondements, pose les premières pierres, élève une aile, et cette aile est celle qu’il fallait d’abord élever ; et lorsqu’il est forcé de suspendre son travail, il laissé à la partie construite des pierres d’attente qui se remarquent, et entre les mains du propriétaire un plan général auquel, à la reprise du bâtiment, on se conformera sous peine de ne retirer de la dépense qu’on a faite et de celle qu’on fera qu’un amas confus de pièces belles ou laides, mais contradictoires entre elles et ne formant qu’un mauvais ensemble. […] Je suppose que celui qui se présente à la porte d’une université sait lire, écrire et orthographier couramment sa langue ; je suppose qu’il sait former les caractères de l’arithmétique, ce qu’il doit avoir appris ou dans la maison de ses parents ou dans les petites écoles. […] L’art de conduire sa maison et de conserver sa fortune. […] Les premiers principes de la science économique ou de l’emploi de son temps et de ses talents, ou l’art de conduire sa maison ou de conserver et d’accroître sa fortune.
Chacun se rappelle cette grande planche qui représente une maison de jeu. […] Le long d’une maison plus que suspecte passe une toute jeune fille, coiffée de son petit bonnet phrygien ; elle le porte avec l’innocente coquetterie d’une grisette démocrate. […] Daumier a vécu intimement avec lui, il l’a épié le jour et la nuit, il a appris les mystères de son alcôve, il s’est lié avec sa femme et ses enfants, il sait la forme de son nez et la construction de sa tête, il sait quel esprit fait vivre la maison du haut en bas. […] Elle tient maison ouverte.
Sa pénurie devint telle qu’il vendit sa maison de Rouen. […] Le vieillard s’est décidé à frapper à la porte de la maison. […] On l’expulse donc de sa maison, avec sa femme, « Et mon fils ? […] Et Piotr et l’aïeule idiote restent seuls dans la maison vide. […] Et, la tante morte, sœur Gudule doit quitter la maison.