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1458. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Silvio Pellico »

Il n’a pas seulement, suivant le précepte divin, béni et glorifié la main qui châtie ; il a, au nom de la vérité toute simple et de l’étroite justice, amnistié l’Autriche de ses châtiments. […] Pour eux, en effet, par ces lettres, Silvio Pellico aura trahi sa propre mémoire, cette gloire qu’ils lui avaient faite de leurs mains !

1459. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXVII. Silvio Pellico »

Il n’a pas seulement, suivant le précepte divin, béni et glorifié la main qui châtie ; il a, au nom de la vérité toute simple et de l’étroite justice, amnistié l’Autriche de ses châtiments. […] Pour eux, en effet, par ces lettres, Silvio Pellico aura trahi sa propre mémoire, cette gloire qu’ils lui avaient faite de leurs mains !

1460. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Francis Lacombe »

Francis Lacombe, en nous prouvant que la fraternité chrétienne est un sentiment du Moyen Âge, nous a mis pour ainsi dire dans la main le lien qui nous attache invinciblement à cette époque, le lien que des sophistes disaient brisé, mais qui ne l’est pas. […] D’ailleurs, rien ne donne plus d’aplomb à la pensée d’un homme que les certificats de l’histoire ; l’aplomb de la pensée donne à son tour la justesse du coup d’œil, comme la solidité du corps produit la justesse de la main, et c’est ce qui est arrivé à F. 

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