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360. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — V. L’avare et l’étranger »

Il se rendit chez celui-ci et entra dans la case au moment même où la femme demandait à son mari : « Maître, faut-il apporter le touho ?  […] L’étranger alla s’asseoir à côté du maître de la maison : « Mon hôte, lui dit-il, voici 3 jours que je suis en route et j’ai grand faim, car, de ces 3 jours, je n’ai pris aucune nourriture ».

361. (1924) Intérieurs : Baudelaire, Fromentin, Amiel

Il connaît exactement ses moyens, sait fort bien ce qui lui manque, s’apprécie à sa juste valeur et ne compte pas figurer jamais au rang des maîtres. […] Fromentin a aimé en les maîtres flamands et hollandais des qualités comme ses qualités littéraires à lui. De culture classique, il a aimé en ces contemporains de nos maîtres classiques leurs correspondants en peinture. […] Les deux livres de voyage, les Maîtres d’autrefois, sont en partie des livres de souvenir. […] Après avoir été le maître de ses études, il est devenu peu à peu pour lui, sinon un maître, du moins un modèle de vie.

362. (1898) XIII Idylles diaboliques pp. 1-243

— Vous manquez de logique, mon cher Maître. […] Au revoir mon cher Maître. […] Maître, un profane a parlé. […] Le Maître a dit ! […] Le Maître a dit.

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