Il n’y a donc qu’à extraire de partout où ils se trouvent, ces fragments de vérité épars et mêlés à l’erreur, et à les réunir pour en former un système dont les doctrines seront la vérité même. […] Le beau donne un plaisir calme, tranquille ; le plaisir du sublime est mêlé de douleur.
Il faut à ces sens et à ce corps d’athlète les cris, le cliquetis de la mêlée, les émotions de la mort et des blessures.
Ce besoin de déplacer le corps quand on ne peut faire agir l’esprit, est un phénomène moral, qui se retrouve à toutes les époques fortement tenues, où l’on respire un air douteux, mêlé. — La veille de la révolution d’Angleterre, Pyne, Hampden et Cromwell allaient partir.